giovedì 9 marzo 2017

Macron Emmanuel

Macron Emmanuel

Y’a t’il un MacronGate et si oui par qui Macron est il protégé ?
Pourquoi une fraude pire que celle de Cahuzac est elle passée sous silence pour que le ministre puisse rester en fonction et qu’on nous refourgue pour 5 ans le disciple de Hollande ?
Macron : La grande arnaque de Hollande ?
Retour sur les faits connus du Macron-Gate
Macron a gagné 3 millions en 3 ans dans la banque Rothschild TOUT EN RESTANT fonctionnaire (pratique…) oh non, ne vous méprenez pas ! Il ne faut surtout pas dire que ce serait un emploi fictif, c’est beaucoup mieux…!
puis il dit avoir TOUT DÉPENSÉ « tout a disparu » (Macron serait donc un grand gaspilleur, ou un nouveau Cahuzac qui transfère tout vers un compte bancaire aux Caïmans… comme le trésorier de Hollande ?) En tous cas, s’il arrive à gaspiller 3 millions de sa poche rapidement, ça promet avec nos impôts comme président ! Mais bon, comme son maître Hollande l’a dit, pour l’argent public, « c’est pas cher c’est l’état qui paie »
Mais ce n’est pas tout. Macron a (déjà!) été reconnu de fraude (oh, juste 300000€) par le fisc. Il fraudait l’impôt sur la fortune tout en étant ministre. Mais contrairement à Cahuzac il est resté ministre !!
Canard enchaîné : Macron fraude le fisc
[source : canard enchaîné]
Justement, même en temps que ministre il fraude. Au nez et à la barbe des inspecteurs des impôts, à qui il pique leur budget de « frais de bouche ». A Bercy, il aurait englouti pour 120000€ en 1 an de restos et petits fours, pour de mystérieux rendez-vous de campagnes, avec ses donateurs, ses soutiens… 120000€ pour quelques « frais de bouche » en quelques mois, d’après lui, ce n’est pas un détournement, c’est simplement « à cause des déplacements » [nouveau mensonge relevé ici 20minutes]
Mais voilà, alors que les médias déterrent de vieilles affaires pour un candidat validé par 4 millions d’électeurs (qui se sont déplacés 2 fois) le fraudeur Macron semble protégé par le gvment, les juges, et les médias qui veulent nous recaser ce disciple de Hollande pour 5 ans… Ça n’a sûrement rien à voir avec le fait que Pierre Bergé, propriétaire du très respectable « Le Monde », financier de la campagne Hollande, soutient [à fond] Macron. Rien à voir avec sa relation intime avec le patron de radio-propagande. Et les autres oligarques du système médias-pouvoir-corruption… ?
Bergé, Attali, Minc, Coehn-Bendit… Et d’autres… oligarques ou pedophiles, c’est le système-Macron
Logique : tous les patrons préfèrent comme candidat celui qui sait planquer le mieux son pognon, et séduire de ses mensonges les électeurs… Macron arrive même à se faire passer pour un candidat anti-système, lui l’énarque arnaqueur !
Hollande-Macron : Le maître et le disciple
Alors que peut on faire ? Les juges sont majoritairement syndiqués socialistes, comme l’a prouvé le scandale du Mur des cons (où c’est le journaliste qui a dénoncé le scandale qui a été condamné, les juges se protègent entre eux !) quand au « parquet financier » qui poursuit en ce moment Fillon… il a été nommé par Hollande… Compter sur la justice est donc illusoire, faire confiance aux médias est un oxymore, il nous reste à faire notre devoir de citoyen, et diffuser massivement les éléments connus du scandale, pour démontrer à tous que Macron-l’arnaque, malgré sa belle gueule, est bien pire que Hollande et Cahuzac réunis… Canard enchaîné. 3.3.2017. 
Macron, quello che Renzi ha sognato di poter essere
L’ex ministro dell’Economia di François Hollande, ex socialista ed ex banchiere, arriva in anticipo sulla tabella di marcia e va a salutare quelli che non sono riusciti ad avere un posto a sedere e seguiranno il discorso all’aperto. Sorridente e sicuro, cammina con l’aria sfrontata di chi sa di avere la fortuna dalla sua parte. Quando sale sul palco sembra già un’investitura: per un’ora predica l’unione di destra e sinistra e l’importanza di unire invece che dividere. “Non vi dico”, scandisce dal palco, “che gauche e droite non significano più niente, che non esistono più o che sono la stessa cosa, ma queste divisioni in questo momento storico non sono superabili? Non bisogna essere l’uno o l’altro, bisogna essere francesi”. Sembra quasi una missione: Macron, davanti alla nausea per la politica tradizionale, tenta la strada impossibile di una specie di sincretismo tra valori condivisi da tutti. Libertè, fraternité, egalité, i principi intoccabili del suo discorso. Anche perché tra i pochi che uniscono tutta la popolazione. Poi il candidato attacca finalmente con il programma, o meglio una parte di un testo che forse sarà distribuito a marzo. Intanto mette al primo punto gli investimenti per una maggiore sicurezza e quindi l’aumento del budget per la difesa. Il resto è un flusso con pochi dettagli e tanti verbi al futuro, cercando di restare vaghi e scontentare il meno possibile.
Gli applausi: quando chiede di snellire le regole sul lavoro e quando si schiera apertamente contro il reddito universale proposto dai socialisti. Ma anche nella sua invettiva contro i muri e quando lancia un appello ai ricercatori e alle imprese ostacolate da Trump negli Usa: “Venite in Francia”. Per la cultura va a pescare addirittura il bonus da 500 euro per i giovani di Matteo Renzi, che probabilmente da oltre confine lo ascolta mangiandosi le mani: un movimento che nasce a sinistra e ruba voti al centrodestra, senza avere la minoranza del partito che lancia anatemi a ogni proposta, è forse la mossa coraggiosa che l’ex presidente del Consiglio italiano si sogna di notte. Macron da una parte è un po’ l’ex candidato dei socialisti Manuel Valls se non avesse avuto sul groppone  il compito di difendere la presidenza di Hollande, ma dall’altra è soprattutto il voto utile che molti a sinistra si sentiranno costretti a fare.

La resistenza al populismo al grido di “Europa!”
La campagna elettorale per le presidenziali francesi si conferma uno show pieno di colpi di scena. Quella che per tutti avrebbe dovuto essere la discesa agli inferi di un Paese travolto da terrorismo e problemi di integrazione, potrebbe diventare all’improvviso il modello di resistenza al populismo a livello europeo. Macron riempie un palazzetto dello sport con la facilità e l’arroganza dei talentuosi. Era nei socialisti: gli avevano detto di stare fermo un turno e di aspettare perché la vita politica è fatta di code. Lui gli ha stretto la mano e se ne è andato portandosi dietro parlamentari e soprattutto elettori. Con la stessa faccia di bronzo fa distribuire bandiere blu dell’Unione europea e propone maggiori poteri a Bruxelles. Gli risponde una platea che grida in coro “Europe!” e nel giro di cinque minuti sembrano destinati all’archivio mesi di sondaggi sulla disaffezione dei cittadini per l’Ue. “I partiti tradizionali hanno fallito, lui ci dà speranza”ilfattoquotidiano.it/2017/02/04.

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